Ma passion de l’écriture remonte à l’enfance et c’est elle qui me guidera, presque naturellement, vers le journalisme.
Après des études littéraires, j’ai eu la chance de débuter très rapidement
ma carrière dans la presse quotidienne régionale, l’information de proximité, celle qu’on dit parfois « du coin de la rue », m’a très vite passionnée…
J’avais trouvé ma vocation !
Après des études littéraires, j’ai eu la chance de débuter très rapidement
ma carrière dans la presse quotidienne régionale, l’information de proximité, celle qu’on dit parfois « du coin de la rue », m’a très vite passionnée…
J’avais trouvé ma vocation !
En 1991, j’obtiens le prix du meilleur reportage de presse écrite au Festival
des Médias Locaux dont le jury était cette année-là, présidé par Claude Sérillon,un des journalistes que j’admirais le plus à l’époque. Était-ce un signe du chemin que j’allais prendre, vers la télévision ? Sans doute.
Un an plus tard, je démissionne du journal qui m’emploie, pour un contrat d’une semaine à France 3 Champagne-Ardenne. De la pure inconscience,
en y repensant !
L’aventure va finalement durer plus de 30 ans, en Champagne-Ardenne d’abord puis, dès 1995, en Bourgogne.
Pendant ces trois décennies passées à sillonner la région pour informer
les téléspectateurs, j’ai réalisé des milliers de reportages, des dizaines
de magazines et de feuilletons. J’ai surtout eu la chance de faire d’innombrables rencontres, certaines plus extraordinaires, plus marquantes que d’autres. Avec des personnalités, bien sûr, mais surtout avec des anonymes à qui je suis fière d’avoir tendu mon micro pour qu’ils puissent raconter
leur histoire, témoigner de leurs joies, leurs peines, leurs combats…
Le journalisme est l’un des plus beaux métiers du monde et je l’ai pensé
très longtemps, jusqu’à ce que la course à l’information s’emballe
ces dernières années. Dans le brouhaha d’une actualité de plus en plus anxiogène, l’écriture est d’abord devenue un refuge avant que je décide
de m’y consacrer pleinement, entièrement, comme on revient aux sources…
des Médias Locaux dont le jury était cette année-là, présidé par Claude Sérillon,un des journalistes que j’admirais le plus à l’époque. Était-ce un signe du chemin que j’allais prendre, vers la télévision ? Sans doute.
Un an plus tard, je démissionne du journal qui m’emploie, pour un contrat d’une semaine à France 3 Champagne-Ardenne. De la pure inconscience,
en y repensant !
L’aventure va finalement durer plus de 30 ans, en Champagne-Ardenne d’abord puis, dès 1995, en Bourgogne.
Pendant ces trois décennies passées à sillonner la région pour informer
les téléspectateurs, j’ai réalisé des milliers de reportages, des dizaines
de magazines et de feuilletons. J’ai surtout eu la chance de faire d’innombrables rencontres, certaines plus extraordinaires, plus marquantes que d’autres. Avec des personnalités, bien sûr, mais surtout avec des anonymes à qui je suis fière d’avoir tendu mon micro pour qu’ils puissent raconter
leur histoire, témoigner de leurs joies, leurs peines, leurs combats…
Le journalisme est l’un des plus beaux métiers du monde et je l’ai pensé
très longtemps, jusqu’à ce que la course à l’information s’emballe
ces dernières années. Dans le brouhaha d’une actualité de plus en plus anxiogène, l’écriture est d’abord devenue un refuge avant que je décide
de m’y consacrer pleinement, entièrement, comme on revient aux sources…
